mardi 1 mars 2022
lundi 28 février 2022
Bal traditionnel le 12 mars
Le samedi 12 mars 2022
BAL TRADITIONNEL A BOUSSENS A LA SALLE DES FETES
avec Estornapic et les Bouilleurs de sons
à partir de 21h
lundi 26 octobre 2020
Pas de reprise des ateliers
Conformément à l'arrêté préfectoral du 24 octobre 2020 interdisant toute activité dans les salles des fêtes jusqu'au 13 novembre 2020, nous sommes dans l'obligation d'annuler l'atelier de danse du 3 novembre 2020.
lundi 19 octobre 2020
lundi 18 mai 2020
18 mai 2020 Un peu d'histoire
La Chapelloise
Contrairement à une
légende tenace, ce mixer n'a pas été inventé lors d'un stage à
la Chapelle-des-Bois. Il s'agit d'un mixer suédois, appelé Aleman's
marsj, lui aussi (comme le cercle circassien) apporté en France par
Miss Pledge dans les années trente et pratiqué sous son appellation
d'origine, aujourd'hui encore, aux États-Unis.
A. Dufresne l'enseigne
à la Chapelle-des-Bois dans les années soixante-dix ; en ayant
oublié le titre, il le rebaptise « la Chapelloise »
La danse se répand
sous cette nouvelle appellation. En cours de route, elle s'en trouve
d'autres : la «champenoise», la «gigue», «l'autre Cercle
circassien», le «rock irlandais» etc. La vogue du bal folk
l'exporte hors de nos frontières, où elle passe pour une invention
française. Sauf en Angleterre, où le mixer suédois se voit
naturalisé comme « English gay gordons ».
Aleman's marsj est un
mixer, on change donc continuellement de partenaire.
jeudi 14 mai 2020
14 mai 2020 Un peu d'histoire
La Polka
Danse
festive, très classique en bal folk et facile à apprendre du fait
de son rythme gai, voire effréné, ainsi que son pas simple. Elle
est donc appréciée des danseurs débutants.
La
polka prend ses origines en 1830 en Europe centrale. Elle passe par
l'Allemagne et arrive dans les salons et bal publics parisiens en
1844. Son succès est si retentissant qu'on forge le mot de
«polkamanie».
Les
journaux de l'époque lui font une belle part, elle fascine. Le mot
polka est sur toutes les lèvres, mais dans un premiers temps, les
jambes hésitent à emboîter le pas. Elle semble insolite, d'une
exécution difficile. De nombreux cours de polka s'ouvrent à Paris,
cours sérieux et cours farfelus par des professeurs sans scrupule.
En très peu de temps, elle gagne toutes les couches de la
population, des milieux bourgeois aux plus populaires et ce, dans
toute l'Europe, grâce notamment aux nombreux manuels, articles et
publications que les maîtres de danse font circuler.
La Scottish
Même si le nom de
cette danse signifie écossaise, elle n'en a aucune origine. Danse de
couple à deux temps, en position de danse de salon, elle est très
appréciée des danseurs. Sa popularité tient probablement à la
relative facilité d'apprentissage du pas de base, renforcée par une
grande diversité de figures additionnelles possibles. Ce qui permet
aux néophytes comme aux danseurs chevronnés d'y trouver un plaisir
renouvelé.
Danse
populaire non traditionnelle et d'origine incertaine, elle serait
allemande ou hongroise. Comme la polka, elle arrive dans les bals
parisiens vers 1849. Elle est introduite ensuite en Angleterre sous
le nom de German polka. Elle s'est répandu jusque dans l'Océan
indien.
En Scandinavie, on la connaît sous le nom de reinlander. Il
est difficile de comprendre pourquoi elle porte le nom de scottish,
peut-être parce qu'elle s'est inspirée, au début, de certains pas
d’une danse écossaise mélangés à des figures de valses.
lundi 11 mai 2020
11 mai 2020 Un peu d'histoire
http://www.accrofolk.net/
et autres sources
La Mazurka
Danse de couple à trois temps aux accents souvent syncopés. Courante en bal folk, elle est très appréciée des habitués. Le pas bien solidement installé en bal folk est la manière "gasconne".
La
mazurka est originaire de Pologne où on la danse depuis le XVIe
siècle dans la province de Mazovie.
Dans
les années 1830, elle arrive en Europe occidentale avec de nombreux
émigrants polonais qui fuient leur pays. Parmi eux, Frédéric
Chopin qui s'établit à Paris. Il contribue par ses compositions de
mazurkas à donner à cette danse une grande notoriété dans les
salons européens.
C'est
une danse vive, contrairement à la valse qui est plus fluide. Au
cours de la seconde moitié du XIXe siècle, elle se répand dans les
campagnes françaises où elle connaît là encore un immense succès.
Chaque
région adopte sa propre chorégraphie, mais garde en commun cette
énergie et ce saut sur le troisième temps, parfois amplifié,
parfois doublé d'un claquement de pied sur le sol. À la fin du XIXe
siècle, elle passe dans le répertoire du bal musette. Comme
beaucoup de danses de salon, la mazurka sera reprise dans les danses
folk.
Évolution
récente
Entre
1970 et 2000, une certaine forme de mazurka particulièrement coulée
ou glissée, moins sautée et moins joyeuse que d'autres, a connu une
destinée particulière, la mazurka de Samatan (commune du Gers de
2000 habitants en Gascogne). Cette mazurka, de par les stages et les
festivals de danses traditionnelles, s'est imposée un peu partout en
France et même en Europe comme la référence et a suscité de
nombreuses variantes, tant dans la manière de jouer la musique que
de la danser.
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